lundi 17 février 2014

Dernière danse, Indila

Humeur du jour

Un peu de douceur avec cette très jolie découverte !





Cette jeune artiste sort son premier album le 24 Février 2014.

  Vous pouvez le trouver en pré commande sur Amazon, la Fnac et Itunes

N'hésitez pas à aller jeter un coup d'oeil et d'oreille sur son site officiel 
                                                                 http://indila.com/



Très belle journée ensoleillée à vous

Bien à vous

samedi 8 février 2014

La Bayadère, par le Ballet de l'Opéra de Paris

La Bayadère

par le Ballet de l'Opéra de Paris

Edgar Degas, L'étoile


Chaque dimanche matin, c'était le même rituel. J'enfilais mes collants, mon justaucorps, mes chaussons, me faisais un chignon tant bien que mal, déménageais tous les meubles du salon pour les coller contre les murs, et glissais un Cd de Tchaikovsky dans la chaîne. Ca y était, j'étais prête.
Pendant presque deux heures, je dansais à m'en faire tourner la tête.

Vous l'aurez deviné, j'étais, je suis et je serai toujours passionnée de danse classique.

          C'est donc avec joie que j'ai appris la venue du Ballet de Saint-Pétersbourg en France pour interpréter La Bayadère cette année... 

En en parlant autour de moi, je me suis rendu compte que ce ballet était bien moins connu que Le lac des cygnes, Casse-noisette ou encore La belle au bois dormant.


La Bayadère, c'est un ballet en trois actes mêlant pouvoir, jalousie, amour et vengeance à l'orientale.

La chorégraphie y est exceptionnelle. Lorsque c'est le Ballet de l'Opéra de Paris qui danse, c'est celle de Rudolf Nureyev qui est interprétée. Elle fut initialement créée par Marius Petipa en 1900.

Les adeptes de danse contemporaine pourront aussi y trouver leur compte. Les pas sortent à plusieurs reprises du cadre classique pour flirter avec le contemporain.

 Les décors sont somptueux. Le travail réalisé est époustouflant.











http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Minkus

La musique a été composée par Leon Minkus et peut être écoutée sur les sites d'écoute à la demande. Une fois savourée, vous la chantonnerez à longueur de journée grâce à ses thèmes enjoués.

Mais elle est aussi très représentative de la mélancolie romantique du XIXème siècle.


                                                         



Et maintenant, place à la dégustation !



                                       

                                                

                                               





Vous pourrez retrouver l'intégralité du ballet dans ce DVD


J'espère que vous vous régalerez autant que moi et que vous pourrez lire en la Bayadère
Comme dans un livre ouvert

Bien à vous












jeudi 6 février 2014

Petit jeu de grammaire

                             Histoire sans importance... 

                                                      Quoique...


                                                             Raymond Devos


Après avoir joué avec les mots de Raymond Devos, jouons avec

 les maux de la langue française








              Je me rappelle, un jour, alors que je bâillais aux corneilles devant une émission à la télévision, il me proposa de sortir de façon à ce que je sois plus énergique au retour. Nous hésitâmes entre deux alternatives : les magasins ou un déjeuner au restaurant. J'optai pour les deux !

             J'avais très envie d'acheter une robe à ma fille. Nous entrâmes dans un magasin qui paraissait bien achalandé. Il me rabattait assez les oreilles avec le fait qu'elle en avait assez pour que je lui en achète une de plus...
                         Pour pallier à son indifférence, j'en choisissais donc deux. 
           
          A la librairie voisine , je fis l'acquisition du nouveau livre d'un écrivain notoire. Puis,  alors que nous sortions, un espère de fou en bicyclette déboula à 60 kilomètres heure et renversa ma moitié qui se fit une entorse de la cheville. Il s'en est guère fallu de peu pour que je sois amochée aussi. Aussi curieux que cela puisse paraître, c'était de ma faute !  Il fut furieux après moi. Au jour d'aujourd'hui, je me demande encore pourquoi lorsqu'un homme se fait mal, c'est toujours de la faute de sa femme !
           
          A deux heures sonnant, mon estomac criait famine, nous cherchâmes un endroit où manger. J'avais lu sur le journal qu'un restaurant avait ouvert ses portes sur la place. Je me fis donc servir un plat pour au moins deux à trois personnes (et avec dessert, tant qu'à faire), tandis qu'il commandait une salade ( il n'a JAMAIS très faim) . Notre table était placée le long d'une rue très passagère, le bruit nous insupportait. Nous ne nous attardâmes donc pas, d'autant que le serveur me fixait comme si je comptais partir sans payer.

             Nous avions convenu de rentrer pour dix-sept heures. Aussitôt notre retour, je m'affalais de nouveau dans mon canapé. La digestion pouvait enfin commencer...




Texte plat et inintéressant direz-vous. Certains iront même jusqu'à dire que ce n'est pas toujours "français". Je vous l'accorde. 

                                                 Et je l'ai fait volontairement !

Saurez-vous dénicher tous ces barbarismes et solécismes que nous utilisons pourtant si souvent ? 

Réponse dans le prochain article !

Surprise réservée à celui ou celle qui saura trouver toutes ( et j'ai bien dit "toutes") ces petites erreurs !
   

Bien à vous